Cartes truquées au black jack mais sanctions reelles
Ses complices avaient par contre des peines entre 300 jours et 21 mois suivi d’une amende à 30 francs suisse. Ils ont tous avoué leurs fautes lors du procès, excepté une personne qui avait la fonction de vigile auprès du casino. Cette personne n’avait pas su convaincre la juge Rosa Item et il a ainsi été sanctionné d’un emprisonnement à 14 mois.
Il a été également jugé que ce dernier prenne part au remboursement d’une partie de la somme volée. De ce fait, son avocat a lancé un recours pour appel. Les autres sont également contraints de rembourser chacun une partie de cette somme. Chaque personne accusée ne pouvait se justifier dans cette situation, ils ont chacun eu des sanctions sévères auprès du tribunal.Il a été constaté que quatre des inculpés étaient des employés du casino lors des actions.
L’un était superviseur et les autres vigiles. Ils disaient qu’ils étaient sous l’influence de l’Italien. Toutefois, cela ne changeait en rien leurs accusations. En effet, le juge confirmait qu’ils pouvaient à tout moment avertir l’administration du casino ou la police, mais ils ne l’ont pas fait ainsi ils resteront condamnés.
Croupiers ripoux aux tables de roulette et black Jack
Dans le cas où ces derniers devaient avertir la direction, ils ont préféré recevoir une partie des gains. Un choix qui leur a valu plus à part les sanctions d’emprisonnement. Afin d’obtenir leurs gains, ils jouaient avec des cartes truquées et ils se faisaient volontairement prendre sur une table de Black Jack par le biais du croupier. Les tricheurs ont déjà la connaissance des cartes jouées du fait que des marques étaient posées sur celles-ci afin qu’ils puissent les reconnaître facilement. C’était donc une combine bien étudiée de la part des tricheurs.
D’une autre façon, il y avait également la collaboration des joueurs avec les croupiers sur la table de roulette. Ils avaient une démarche particulière pour tricher. Un joueur annonçait une couleur ou un nombre incompréhensible et par la suite le surveillant confirmait qu’il raflait la mise sur la table. Personne ne s’apercevait de cette arnaque au début. Cette coopération entre le joueur et les croupiers a duré presque un an avant que le casino s’aperçoive de la tricherie.
Certains accusés ont fait des accords avec le casino de Lugano afin de rembourser les gains obtenus lors de cette situation. Il a été constaté que le casino a porté ses accusations en tant que privé lors de ce procès. La décision du tribunal a décidé que chaque accusé rembourse une somme s’élevant jusqu’à 60 000 francs suisse.
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